Université, composantes et services
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Un IEP nouvelle version pour la rentrée 2013

Le rapprochement entre l’Institut des hautes études européennes (IHEE) et l’Institut d’études politiques (IEP) est acté depuis le 15 février 2013. Sylvain Schirmann, directeur de cette dernière composante, nous éclaire sur les contours de la nouvelle entité qui garde le nom d’IEP. 

Quelle est l’origine du rapprochement entre l’IEP et l’IHEE ?
Ce rapprochement entre les deux composantes répond au besoin de rationalisation de l’offre de formations qui concerne l’Europe. L’IHEE fut la pionnière en la matière lors de sa création en 1952. Et l’IEP, avec l’allongement  de la durée des études notamment, ne pouvait plus ignorer les études européennes. Le DESS1 Politiques publiques européennes a donc été lancé en 1993. Depuis, l’offre n’a cessé de se développer et de se diversifier notamment dans le cadre du master Politiques européennes et affaires publiques et de doubles diplômes avec des universités européennes (Berlin, Francfort sur Oder, Prague, Cracovie et Bruxelles). Ce regroupement est une chance. 

Pourquoi avoir choisi de garder le nom d’Institut d’études politiques ?
L’IEP est un label créé par décret. Neuf structures sont labellisées Sciences Po en France. C’est important de garder ce nom pour être identifiable. Si la nouvelle structure porte le nom d’IEP, il est bien sûr prévu d’y accorder une large place aux études européennes. Au sein de Sciences Po Strasbourg, les formations sur l’Europe seront mises en valeur à travers un Centre de hautes études européennes dont les contours restent à définir.

Quel est l’intérêt de ce rapprochement ?
Il est clair. Ce regroupement des études européennes, dans une logique interdisciplinaire au sein d’un seul institut, permet à la fois d’accroître leur visibilité et leur lisibilité.

Comment cela va-t-il se mettre en place d’ici la rentrée 2013 ?
Nous sommes actuellement dans une période de transition. D’ici la fin du mois d’août, nous allons continuer à gérer les formations  telles qu’elles ont été pensées à la rentrée dernière. Et dès le 1er septembre, les formations juridiques de l’IHEE iront à la Faculté de droit et les autres – la grande majorité – viendront à l’IEP. Les responsables des formations prépareront la rentrée avec toute l’équipe pédagogique. Les personnels seront réaffectés via la mutation interne. La Direction des ressources humaines va gérer les carrières en fonction des besoins définis dans le cadre de fiches de postes. A la rentrée 2013, nous aurons un IEP nouvelle version. 

Cette situation génère-t-elle des inquiétudes chez les étudiants et les personnels ?
J’ai rencontré tout le monde. Et je pense que chez les étudiants, l’inquiétude s’est dissipée. Elle portait principalement sur la sélection à l’entrée. Beaucoup pensaient qu’ils allaient devoir passer un concours pour entrer à l’IEP alors que nous offrons aussi des diplômes nationaux classiques. En outre, pour eux, c’est un réel avantage de pouvoir afficher un passage par Sciences Po.
Les personnels administratifs, eux, s’interrogent encore sur leur avenir. Ils se demandent où ils vont être affectés, ce qu’on va leur demander, etc. C’est légitime. Mais ce qu’il est important de noter, c’est que tous sont fonctionnaires et qu’il n’est donc pas question de perte d’emplois. Pour les enseignants, il n’y aura pas de surprise car ils évoluent dans des champs disciplinaires précis. Des rencontres et des ateliers seront de toute façon organisés d’ici la rentrée pour créer les nécessaires synergies entre les équipes. 

A terme, l’IEP doit déménager sur le site de l’Hôpital civil. Quand cela est-il prévu ?
Nous quitterons les locaux de l’avenue de la Forêt-Noire pour rejoindre le site de l’Hôpital civil à la rentrée 2015. Tout l’IEP sera ainsi réuni au sein du Pôle d'administration publique de Strasbourg (Paps)2, dont le premier coup de pioche a été donné ce 18 mars. Cette nouvelle situation nous convient très bien, c’est une position assez centrale, nous serons proches de l’Ecole nationale d’administration. Cela nous permettra de nous développer et surtout de donner un véritable cadre au Centre des hautes études européennes. Le déménagement marquera la fin de ce projet sur lequel je travaille depuis 2006.

Propos recueillis par Floriane Andrey

1Diplôme d’études supérieures spécialisées
2L’IEP et l’Institut de préparation à l’administration générale (Ipag) seront réunis au sein de ce nouveau bâtiment, qui accueillera aussi un pôle de compétence en propriété intellectuelle.

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Florent Grandazzi, première incarnation du mécénat de compétence

Ce 1er mars, l’Université de Strasbourg et la société Heuft France ont signé un partenariat original : un mécénat de compétence. Florent Grandazzi a ainsi été embauché par l’entreprise et œuvre pour l’université. Explications.

Florent Grandazzi travaille depuis le 15 janvier et pendant trois mois sur le lancement d’une licence professionnelle inédite intitulée Installation d’équipements industriels à l’international (IEII). Elle formera des techniciens autonomes prêts à intervenir chez leurs clients étrangers. Ce profil est particulièrement recherché par plusieurs entreprises dont Heuft France. Cette dernière a justement fait un don original à l’Université de Strasbourg pour soutenir cette nouvelle formation : un mécénat de compétence. Concrètement, Florent a été embauché par Heuft mais sa mission concerne l’université à temps plein.
Encore étudiant en master 2 à l’Institut d'études politiques de Strasbourg l’année dernière, Florent a rencontré le directeur de Heuft lors de sa recherche d’emploi. Ce dernier lui a alors proposé ce poste de chargé de mission.

Point de contact entre l'université et les entreprises

Avec Nicole Dreyer et Denis Hoenen, les responsables de la licence pro, il règle tout ce qui concerne le lancement, la logistique, la communication etc. « Je représente la formation dans les salons, les lycées…»
La licence pro IEII ouvrira cette rentrée universitaire 2013 si douze étudiants y sont inscrits. « L’objectif est de 20 et l’idéal : 30 ! », précise le chargé de mission. Les préinscriptions sont ouvertes depuis le 18 mars via le portail Aria. Il est encore trop tôt pour donner à ce jour une tendance. Florent Grandazzi s’emploie donc à recruter des étudiants en allant à leur rencontre et en « éclairant » leur image des études à l’université. Il recherche également des partenaires susceptibles d’embaucher les futurs diplômés. « Je suis le point de contact entre l’université et les entreprises pour obtenir des partenariats. » Il a déjà récolté sept lettres d’intention d’entreprises. Une trentaine sont concernées par ce profil dans le grand Est. Et le potentiel est encore plus grand avec toute la France, l’Allemagne…
Verdict en septembre 2013.

Fanny Del

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ActUtv n°6 Courants d'Air

Ce numéro 6 d'ActUtv est un numéro spécial Journée portes ouvertes avec pour invités : Alain Beretz, président de l'Université de Strasbourg, Majid Bouzar (ItiRi), Elisabeth Regnault (Sciences de l’éducation), Elric Aublant (4L Trophy), Arnaud Schweigkart (Concours d’éloquence Oratio). Ce numéro propose aussi des reportages, une visite guidée, l'expo Envisage-moi, un huis-clos Holy Tree et l'agenda.
Rendez-vous vendredi 3 mai pour le prochain numéro d'actUtv.

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Données personnelles : le registre des traitements de l'université en ligne

Tout un chacun peut consulter le registre des traitements des données à caractère personnel en ligne depuis 2012.

L'Université de Strasbourg a désigné depuis 2009 un correspondant Informatique et libertés (CIL). Il s'agit de Béatrice Voegel. Le président peut ainsi garantir une sécurité juridique et informatique des données personnelles de l'université. En effet, le correspondant Informatique et libertés a pour mission de transmettre l'état des traitements et d'en faire la déclaration à la Commision nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). Il est tenu de vous en informer et de vous donner les moyens de consulter l'état des traitements.
Des traitements contenant des données à caractère personnel sont recensés dans un "registre des traitements". Des données sont considérées comme étant des données à caractère personnel si elles permettent d'identifier un individu. Une personne est identifiée dès lors que son nom apparaît dans un fichier ou qu'il comporte des informations qui lui sont propres (adresse IP, numéro de téléphone, photographie, numéro INE, etc.). La loi Informatique et libertés protège également les citoyens contre la collecte de données sensibles (origine raciale, opinion politique, philosophiques ou religieuses, etc.). L'université dispose d'un registre de traitement désormais consultable en ligne. Ce registre vous permet de connaître l'existence de traitements dans lesquels vous pourriez être identifiés, directement ou indirectement. Consulter ce registre vous permettra également de connaître exactement les informations qui sont ainsi exploitées, d'en connaître par exemple la nature, la durée de conservation ainsi que la finalité.

  • Contact : Direction informatique - 14 rue de René-Descartes - Strasbourg - site web

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Des personnes valides mises en situation de handicap

Différents ateliers et animations ont été organisés sur le campus d’Illkirch et à l’EM Strasbourg mercredi 13 et jeudi 14 mars, dans le cadre de la huitième campagne nationale Handivalides pour sensibiliser les étudiants au handicap. 

Jeudi 14 mars lors de la pause déjeuner à l’EM Strasbourg. Quelques étudiants décident de tenter l’expérience du repas à l’aveugle proposé dans le cadre de la huitième campagne Handivalides. Parmi eux, Nicolas. « J’ai voulu "voir" autre chose, plaisante-t-il, mais j’ai l’impression d’être un gamin de deux ans ! » Pas si facile en effet de manger un steak haché – frites les yeux bandés. Première tentative, il n’y a rien dans la fourchette. Deuxième essai, le morceau de steak porté à sa bouche est trop gros. Mais l’étudiant réussit tout de même, à force de patience, à finir son assiette. Des doctorants de la Faculté des sciences économiques et de gestion se sont aussi prêtés au jeu et se sont étonnamment bien débrouillés. Leur secret : mémoriser la place des choses sur le plateau et dans l’assiette pour éviter d’être surpris ! 
Pendant ce temps, au sous-sol du Pôle européen d’économie et de gestion, quelques étudiants s’essayent aux différents ateliers organisés pour la deuxième année consécutive par l’EM Strasbourg en partenariat avec la mission Handicap de l’Université de Strasbourg et le Bureau de la diversité. L’objectif, leur permettre de mieux comprendre les situations de handicap et encourager les comportements adaptés.

Le parcours en fauteuil roulant, star de la journée

Si l’initiation au braille ou à la langue des signes peinent à trouver leur public, le parcours en fauteuil roulant est très sollicité. Ulyana, en première année à l’EM, et sa copine se lancent et se mettent, l’espace d’un instant, dans la peau d’une personne handicapée moteur. Pas de problème particulier pour elles sauf qu’ « il faut vraiment avoir de la force pour avancer ». Mais l’affaire se corse quand Thomas, un membre de l’association Starting-Block, les fait tomber avec leur fauteuil. Les deux jeunes filles ne savent pas comment se relever sans utiliser leurs jambes. Heureusement, Thomas les sauve vite de ce mauvais pas en leur expliquant la technique.
Tout près, des étudiants s’aventurent, les yeux bandés, dans un parcours à la canne après avoir attentivement écouté les conseils des animateurs. Isabelle, en première année du programme Grande école, avoue que cet atelier est très déroutant. « Je côtoie quotidiennement ces locaux mais dans le noir, on perd tous ses repères ; la descente des escaliers est même un peu effrayante. »
Au final, comme une petite victoire pour cette journée, tous avouent avoir pris conscience des difficultés rencontrées par les personnes en situation de handicap.

Floriane Andrey

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Stockage de données en ligne : ce qu'il faut savoir sur les "nuages"

Le perfectionnement récent des outils en ligne pour le partage des données allié à un manque d'offre alternative de la part de l'université provoquent une recrudescence du stockage de données professionnelles "dans le nuage".

De nombreux outils permettent de stocker et partager des données gratuitement en ligne : DropBox, GoogleDocs, iCloud… Ils sont déjà largement utilisés par la communauté universitaire sans pour autant que tous les enjeux en soient clairement définis. Voila quelques points qui permettront de vous aider à ne plus perdre de données stratégiques ou surexposer leur personne par méconnaissance des risques sur l'utilisation des outils "dans le nuage".

La gratuité est un leurre
Aucun service n'est vraiment gratuit. L'utilisation des outils fournis gratuitement implique une forme de rentabilité de la part des hébergeurs. Plusieurs conditions générales d'utilisation (CGU) spécifient clairement que les données, une fois déposées, peuvent être réutilisées librement par l'hébergeur. Les données sont compilées puis revendues à d'autres sociétés et dès lors, vous avez perdu toute notion de confidentialité. Les traces produites par les navigateurs sont transmises aux hébergeurs et fournissent une foule d'informations sur vos habitudes d'utilisation d'internet : dates et heures de connexion, sujets de recherche en ligne, etc. Cela permet notamment aux annonceurs de produire des publicités ciblées. Le stockage de données, personnelles ou professionnelles, augmente encore le profilage par ces services prétendument "gratuits".

Le droit à l'oubli n'existe pas
Il faut considérer une donnée publiée sur un site de partage en ligne comme définitivement publique. Il faut donc être particulièrement vigilant sur les données mises en ligne. Ainsi, quand on efface un fichier de son partage, il est effectivement supprimé en local de son disque dur mais pas effacé des serveurs (Dropbox, Facebook…).

La localisation des données est souvent impossible
Les données hébergées sur le sol européen bénéficient d'une législation très stricte qui protège théoriquement les utilisateurs. Malheureusement, la plupart des outils de partage en ligne n'hébergent pas leurs données en Europe. Certaines législations internationales imposent aux hébergeurs de transmettre sur demande des autorités toutes données stockées : courriers électroniques, fichiers, cookies, données personnelles… Ces données peuvent aussi être transférées sans aucun droit de regard et vers le moins disant législatif en cas de rachat d'une société par une autre : le cas a été récemment observé avec Skype, éditeur européen d'un logiciel de téléphonie sur internet, racheté par l'entreprise américaine Microsoft.

La disponibilité n'est pas toujours au rendez-vous
Il est faux de croire qu'un outil en ligne est forcément fiable. Les sociétés externes n'ont aucune obligation de résultat par rapport au service offert. S'il advenait qu'un jour des données hébergées soient perdues ou détruites, les conditions générales d'utilisation spécifient dans la quasi-totalité des cas que cela ne pourrait leur être imputé. Il existe plusieurs exemples récents de manquement dans la sécurité des sites en ligne ayant abouti à une diffusion large de données personnelles ou de mots de passe personnels. Ainsi un service offert peut être arrêté à tout instant ou une donnée stockée effacée en cas d'inactivité du compte pendant une certaine durée ou encore largement diffusée suite à une faille de sécurité et ce, sans aucun risque de poursuite par les personnes lésées.

Pour toutes ces raisons, nous déconseillons l'usage de ces outils à titre professionnel ! Cependant, si on ne peut pas se passer de ces outils, quelques mesures de sécurité sont à mettre en œuvre :

  • Tout d'abord, se renseigner auprès de la Direction informatique (nous avons peut-être un équivalent).
  • Ne pas y stocker de données sensibles (infos personnelles, recherches...) sinon chiffrer les données (avec Truecrypt par exemple).
  • Utiliser un identifiant et un mot de passe différents de ceux de l'université.
  • Effacer régulièrement les cookies ou utiliser la fonction de navigation privée du navigateur Web.
  • Effectuer régulièrement des sauvegardes de vos données en ligne.

Guilhem Borghesi
responsable sécurité du système d'information

http://cert-osiris.unistra.fr

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Édition 2013 du Forum de la chimie

Pour la troisième année consécutive, la Faculté de chimie organise, mardi 2 avril 2013 de 9h à 17h, son forum Faculté/Entreprises. Il réunira les étudiants de chimie, les responsables de filières et des professionnels sur le thème de l’adéquation des formations au milieu socio-économique.

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La pratique de l'intercompréhension en ateliers

Spiral, le centre des langues de l'Université de Strasbourg, propose un cycle d'ateliers de pratique de l'intercompréhension entre langues germaniques – allemand, anglais, alsacien – une langue romane « invitée surprise » et le français comme langue "pont", sur des thèmes variés.

Ces ateliers ont pour objectif d'améliorer sa capacité à comprendre des langues que l'on a jamais apprises, en pratiquant l'intercompréhension entre langues apparentées. Il est possible de s'inscrire à un atelier ou à l'ensemble du cycle. Les ateliers auront lieu les lundis 25 mars (Cuisiner), 8 avril (La publicité), 29 avril (La politesse), 13 mai (Le café) et 27 mai (Apéro linguistique) de 12 h à 14 h dans le salon « tandems » de Spiral au 3e étage du bâtiment Le Pangloss.

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L'étudiant de demain au cœur du prochain séminaire Prospective & développement

Le prochain séminaire Prospective & développement intitulé « Quelle univer-cité pour l’étudiant de demain ? » se déroulera jeudi 4 avril 2013.

Strasbourg aime ses étudiants et le proclame à chaque rentrée universitaire, l’université assure qu’elle place l’étudiant au cœur de ses préoccupations. Mais qui sont ces étudiants ? D’âges différents, d’origines sociales et géographiques diverses, leurs besoins évoluent en même temps qu’évoluent les attentes de la société vis-à-vis d’eux. Dans quelle mesure les étudiants d’aujourd’hui, mobiles, connectés, préoccupés par leur avenir mais aussi par un quotidien parfois difficile, préfigurent-ils ceux de demain ? Leur environnement social et universitaire est-il en mesure de prendre aujourd’hui les décisions qui serviront la prochaine génération ?

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Réunions institutionnelles : calendrier 2012-2013

03/201304/201305/201306/2013
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14h30 - Mardi
&nbsp;26&nbsp;30&nbsp;21&nbsp;25
<strong>Conseil des études et de la vie universitaire - Cévu</strong>
14h - Lundi
&nbsp;/&nbsp;8 - 29&nbsp;/&nbsp;17
<strong>Conseil scientifique - CS</strong>
14h30 - Mercredi
&nbsp;/&nbsp;10&nbsp;15&nbsp;26
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14h30 - Mardi
&nbsp;/&nbsp;2&nbsp;14&nbsp;18

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Liens vers les lettres électroniques utiles